Recommandation stratégique :
Elégance & confort
Nautic service et son créateur, Fabrice DUFFOUR sont à l’origine d’une idée très prometteuse : transformer les pinasses et autres “plates” locales et typiques du bassin d’Arcachon en embarcations de loisir pour la plaisance. Nous devons transformer les perceptions et passer de bateaux à usage professionnel, souvent mal menés, à de luxueuses embarcations touristiques.
Pour cela nous avons choisi les visuels et l’argumentation démonstrative de tous les avantages de tels bateaux : réceptions et repas facilités à bords, bain de soleil très spacieux, adaptation parfaite à son milieu et aux passes du bassin d’Arcachon.
- 2009
- Nautic Service
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- http://www.beacher-arcachon.com/
La publicité magazine
Soucieux de l’environnement, il s’est intéressé à l’aluminium. Ce matériau est recyclable et il laisse plus de liberté dans la conception du bateau par rapport à un moule en polyester, impossible à modifier à moindre coût. Le cahier des charges était pour le moins exigeant : « Mon challenge était de faire un bateau en aluminium qui ne tape pas et ne mouille pas, tout en étant carré à l’avant pour avoir un maximum d’espace à bord.»
Avant carré, faible tirant d’eau… il aurait suffi de prendre une plate ostréicole – elles sont légion sur le bassin d’Arcachon ! – et de l’aménager en une version plaisance. Mais, enfant du bassin, Fabrice connaît bien les limites de ces embarcations de travail, qui mouillent beaucoup et peuvent, une fois chargées, pousser de l’eau. Fabrice Duffour a donc demandé au cabinet Orion Naval Engineering, à qui l’on doit l’archipel flottant de Paris ainsi que les BatCub, catamarans électriques de transport de passagers de Bordeaux, de lui dessiner une carène pour son bateau en aluminium.
Contrairement aux plates ostréicoles qui possèdent un fond totalement plat, le Beach est doté d’un V porteur assez ouvert, assisté d’un léger rostre et d’un bouchain inversé pour que la déflexion se fasse vers l’arrière et non vers l’avant.
Le Beach n’est pas un bateau comme les autres. Si son esthétique est discutable et surprenante, et si la version prototype que nous avons essayée mérite quelques petits ajustements – qui seront réalisés pour le prochain Grand Pavois de
La Rochelle –, il se révèle particulièrement agréable à vivre au mouillage et très amusant en navigation.
Fabrice Duffour a décidé de proposer le bateau à 100 000 € tout équipé et avec deux moteurs de 100 chevaux.
La seule option est la possibilité de recouvrir entièrement le bain de soleil avant par une tente qui se déplie sur les balcons, afin d’offrir un double couchage supplémentaire.
De même, si le propriétaire souhaite une configuration ou un équipement particulier, Fabrice peut évidemment s’adapter au choix du client.
Le Beach devrait séduire les plaisanciers qui regrettent l’absence des bateaux pontons de notre plaisance française, ainsi que les loueurs qui devraient apprécier son côté polyvalent et sa facilité d’entretien (pas d’antifouling, pas de pro
blème d’osmose ni de faïençage du gel-coat…).
Tout est étonnant à bord de ce bateau fabriqué sur le bassin d’Arcachon, son nom, sa silhouette, sa carène, son plan de pont. Formidable plateforme conçue pour les sorties à la journée, le Beach donne tout son sens à l’expression « le bonheur
est sur l’eau ».
Les Américains ont le «pontoon boat», nous avons le Beach ! Ce bateau étonnant par son look, son nom et son plan de pont, nous le devons à Fabrice Duffour, père des Beacher.
Avec le Beach(r), Fabrice a souhaité faire un bateau de «plein air», recyclable – d’où le «r» dans son nom – et spécialement dédié à un programme de sorties à la journée.
Le surpeuplement des plages et l’accroissement des zones protégées sur notre littoral impliquent une nouvelle façon de naviguer.
“Le bateau à moteur ne doit plus être seulement un moyen de locomotion pour se rendre d’un point A à un point B, il
doit aussi offrir une belle qualité de vie à bord, au mouillage en particulier, pour apprécier pleinement le
plaisir d’être sur l’eau”, nous confie Fabrice. Fort de ce principe, il s’est mis en tête de créer un « bateau à vivre », facile à utiliser et à entretenir, avec un maximum de place et un programme ultra-polyvalent, le couteau suisse de la plaisance en quelque sorte.
Règle d’OR :
N’oubliez pas de respecter la charte graphique : c’est dans la répétition sur tous les supports de communication que vous arriverez à afficher une image professionnelle et rigoureuse.
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